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Du bon usage de l'adversaire

Cet article co-écrit avec Maxime Travert défend l’idée que les relations d’adversité ont leur place pendant les leçons d’EPS, en apprenant à faire un bon usage de l’adversaire. Dans les pratiques sportives, c’est la rencontre avec un adversaire qui donne la plupart du temps une signification aux échanges entre les pratiquants. Les bénéfices d’une compétition bien orchestrée sont de plus en plus ignorés dans une EPS « sans adversaire ». Nous choisissons au contraire de montrer comment apprendre à choisir ses adversaires et les conditions d’une compétition, gagner et perdre face à des adversaires, coopérer avec des partenaires pour affronter des adversaires, s’allier avec des adversaires, s’affronter pour se dépasser et se comparer pour se situer sont des expériences qui peuvent être majeures en EPS. Les relations d’adversité méritent d’être vécues à condition que toute la concurrence scolaire ne s’y joue pas. Mieux vaut des compétitions réfléchies et cultivées durant les cours d’EPS plutôt qu’une concurrence dissimulée et sans nuance dans l’interprétation des résultats scolaires.

À découvrir dans la revue EP&S n° 401



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